Sa maladie la rendue d’autant plus proche de moi.
Tout comme mon cheval, Guismo, en 2013, à sa mort (cancer diagnoostiqué 9 jours avant, attaque cérébrale entrainant une cécité), j’ai eu l’impressions que l’on m’arrachait les tripes.
Cela a été d’autant plus dur que l’euthanasie a été pénible. Son cœur ne voulait pas s’arrêter.
(Meilleurs photos trop lourdes. Dommage.)